Avec des fleurs, avec plein d'amour, je vous dédie ce poème , à vous , merveilleuses mamans du monde!
Bonne fête et que DIEU vous protège pour nous tous!
Et si je pouvais te faire revenir,
Mon doux repentir,
Dans mes lourdes années
Pour les alléger ?
Et si je pouvais te recréer,
Juste pour changer,
Cette troublante destinée.
T’accueillir,
Dans tes bras souverains, me blottir !
L’accepterais-tu ?
Le voudrais-tu ?
On serait mère et enfant
Comme avant !
Tu illumineras ma vie,
Tu occuperas mon temps !
Comme si jamais tu n’étais partie !
L’accepterais- tu ?
Le voudrais- tu ?
Et si on flânait,
Main dans la main,
Complices comme aux plus beaux matins,
Où tu me préparais avec amour et entrain,
Un avenir que je croyais serein !
Et si tu m’appelais,
Pour me sourire,
Pour me narguer,
Pour jouer,
Pour me contempler
Et tout comme avant tu crierais :
« Regardez-la, c’est ma beauté ! »
Et si tu revenais
Pour nourrir mon avenir,
Pour m’aider à vieillir,
Humblement…sans souffrir !
L’accepterais-tu ?
Le voudrais-tu ?
Et si …et si …hélas, maman
Tu n’y es plus !
Mes années de bonheur, c’est fini !
Mes heures de joie
Se sont très vite fondues !
Mon doux repentir,
Dans mes lourdes années
Pour les alléger ?
Et si je pouvais te recréer,
Juste pour changer,
Cette troublante destinée.
T’accueillir,
Dans tes bras souverains, me blottir !
L’accepterais-tu ?
Le voudrais-tu ?
On serait mère et enfant
Comme avant !
Tu illumineras ma vie,
Tu occuperas mon temps !
Comme si jamais tu n’étais partie !
L’accepterais- tu ?
Le voudrais- tu ?
Et si on flânait,
Main dans la main,
Complices comme aux plus beaux matins,
Où tu me préparais avec amour et entrain,
Un avenir que je croyais serein !
Et si tu m’appelais,
Pour me sourire,
Pour me narguer,
Pour jouer,
Pour me contempler
Et tout comme avant tu crierais :
« Regardez-la, c’est ma beauté ! »
Et si tu revenais
Pour nourrir mon avenir,
Pour m’aider à vieillir,
Humblement…sans souffrir !
L’accepterais-tu ?
Le voudrais-tu ?
Et si …et si …hélas, maman
Tu n’y es plus !
Mes années de bonheur, c’est fini !
Mes heures de joie
Se sont très vite fondues !
Poème écrit par
Mme Mounira Fehri
le 1 mai 2007
Mme Mounira Fehri
le 1 mai 2007
c'est le jour ou on perdra sa mère qu'on devient de plus en plus vieu .
RépondreSupprimerj'ai Soixance ans ma mere en a 89 et j'ai des enfants ...je suis toujours le grand bébé de maman.
"Bonne fete "à toutes les mères du monde
Les Mères sont la vie en tant que la vie est au plus près du rire de dieu .Elles ont la vie en garde pendant l'absence de dieu.elles ont en charge le sentiment limpide de la vie éphémère,la sensation de base de la vie éternelle. A toutes les Mères du monde Nous dédions tout nos poèmes
RépondreSupprimerMerci Mère Modératrice
A une mère pas comme les autres ,la mère des futures mères ,des centaines d'élèves sont passé entre ses mains une mère qui donne et ne reçoit que l'honneur de son métier ,je cite les enseignantes toutes - Mais j'ai une exception ,.....une mère aussi combattante aussi laborieuse ,et innovante .;La Modératrice de ce site
RépondreSupprimerune créatrice d'un nouveau monde sans frontières..celui du net..mes
hommage à Mme Mounira el fehri en premier lieu La matrice des Battisseurs de la Tunisie de demain..Bravo et Bonne Fêtes des mères